Le festival des Culs Gelés Show 2024 en images
Salut à toi,
C’est sûr, nous ne sommes pas les communicants du siècle, mais on a quand même décidé de te faire un petit retour sur le dernier festival des Culs Gelés Show. Ça rappellera des souvenirs à ceux qui étaient là et on espère surtout que ça te donnera des regrets à toi qui ne t’es pas bougé le cul cette année jusqu’à Dissay.
Installation du QG des Culs gelés Show à la salle Galipeau
Montage dans une ambiance météo façon Irlande en automne : vent, brume, soleil, petite pluie : l’équipe du TACO au taquet habille la place de ses palmiers et la ville de ses affiches.
On commence la préparation de l’odorant vin chaud, de la soupe réconfortante et des nombreux ingrédients du Délice du TACO façon le Binjamin.
Les spectacles d’hiver et variés
Le jeudi soir une relecture – au sens figuré du terme – de la vie de Molière. Salle temps pour les bobos du landerneau culturo-télévisuel parigot et mise à mal de l’histoire officielle du père Poquelin. Ceux qui étaient là ont dit c’est brillant. On ne leur a pas dit le contraire.
Le lendemain, nous primes Les Chemins du vent et Le Monde s’est dédoublé. Des voix et du mouvement qui font vibrer le cœur et l’oreille interne. Ceux qui était là ont dit c’est beau. On ne leur à pas dit le contraire.
Samedi l’histoire de Jean François B. nous a menée d’un petit village du Jura aux confins du front Russe à servir une cause affreuse et pourtant…Ceux qui étaient là ont dit c’est bouleversant. On ne leur a pas dit le contraire.
Samedi aussi, sans déc on a vu cohabiter Victor Hugo et Snowy White, Arthur Rimbaud et les Ramones, Maram Al-Masri et Otis Redding dans une battle faite de poésie gestuelle nocturne. Ceux qui étaient là ont dit c’est un moment suspendu. On ne leur a pas dit le contraire.
Samedi encore, on a vu deux amis d’enfance, un pédé et une mère célibataire, deviser sur la vie, du désir d’avoir des enfants ou de ne pas en avoir. Non ce n’était pas chiant. Ceux qui étaient là ont dit c’est drôle, fin, touchant, ça me parle tellement. On ne leur a pas dit le contraire.
Dimanche on a vu une personne pleine de gratitude nous rappeler la beauté de chaque instant vécu. Non ce n’était ni bab ni cul-cul, c’était régénérant. Ceux qui étaient là ont simplement dit merci. On leur a dit merci aussi.
De la synesthésie poétique dans la nuit tombante.
Des écritures déchaînées. Des spectacles qui transportent depuis le froid des tranchées aux vins, aux soupes et aux cafés fumants du bar du TACO.
On ne te dira pas tout ce qu’il s’est passé ça serait trop facile. Mais comme on est pas « chiens », te voici quelques photos pour que tu apprécies l’ampleur de l’échec de ton absence. Allez ne chiale pas, on t’accueillera volontiers pour la neuvième édition.
Bisou
Le TACO